titoune membre actif
Nombre de messages : 28 Age : 45 Localisation : seine et marne Date d'inscription : 29/12/2008
| Sujet: recruter des mafieux nocturne!!! Lun 16 Mar - 12:50 | |
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limpidekomwisky Admin
Nombre de messages : 164 Date d'inscription : 18/11/2008
| Sujet: eeeeeeeeeeeeeeeeeeeee Lun 16 Mar - 20:07 | |
| euh...ben ce n'est pas dans mes habitude....mais si tu veu je peu te faire rentré a la table des parains ce qui te permettré de recruté des membres nocturne que tu trouveré sur le bar..."la NUIT!" quand pense tu? .....et ainsi augmenter le vote du journal... .... inutile de te dire qu'il faut que tu soi sur de ton engagement avant de prendre ce poste.... bizouilleeeeeeeeeeeee la madone de la mafia [b][b]La naissance d'une association féminineTRONG> La mobilisation initiale des "mères fondatrices" a dépendu de certains facteurs "socio-culturels", mais aussi de facteurs biographiques similaires. En effet, Giovanna Terranova, Caterina Mancuso et Rita Costa ont en commun la perte de leurs maris, tous les trois "servitori dello stato", et ce dans la même période ; le juge Cesare Terranova est assassiné en septembre 1979, en même temps que Lenin Mancuso, tandis que le juge Gaetano Costa est tué quelques mois après en août 1980. Elles ont un niveau social et scolaire comparables et appartiennent à la même génération, ce qui leur a assuré un niveau élevé d'interconnaissance et un sentiment accru de solidarité. Par la suite, d'autres adhérentes ont rejoint leur association et il s'est formé un "noyau dur" permanent - le conseil de direction et quelques personnalités - et des "satellites" volatiles - les étudiantes par exemple. Leur volonté de tendre à l'élargissement en rassemblant des femmes d'origines diverses est indéniable. Pourtant, malgré leur effort de transversalité, les membres "permanentes" font en majorité partie de la bourgeoisie, voire de la haute bourgeoisie sicilienne.
Il faut, en effet, certaines armes pour être en mesure de lutter contre la mafia, à commencer par une "socialisation démocratique", c'est-à-dire l'intériorisation de discours et de pratiques fondés sur la légalité et les règles de l'État de droit, tel que recourir au détenteur du monopole de la violence légitime - demander justice - et non à celui du monopole de la violence illégitime - vendetta. Ainsi, la seule femme du peuple à faire partie du conseil - qui est composé d'une veuve de juge, d'une avocate, d'une femme médecin, d'une syndicaliste, d'une enseignante, d'une femme politique, etc. - ne peut plus se rendre aux réunions de l'assemblée générale parce qu'elle habite en dehors de Palerme, et que l'essence lui coûte trop cher ; elle est par conséquent exclue de fait, malgré la volonté affichée par les autres - et sincère, me semble-t-il - d'accueillir des femmes de tous milieux. Ceci pose la question de la représentativité. Finalement, même si, durant les procès, l'Association a été présente aux côtés de femmes émanant des milieux mafieux, même si elle a accepté leur adhésion dans les principes après de vifs débats, elle est tendanciellement une lutte d'intellectuelles, un groupement politique qui a, me semble-t-il, constitué un tournant historique concernant l'accession des femmes à la sphère publique sicilienne et qui aujourd'hui survit à ce moment crucial.[/b][/b] | |
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